Puise-je envisager un verni pour le parquet de ma salle de bains ?
Non, seulement la finition huilée.
Vous n’êtes pas obligé d’appliquer une finition. Vous pouvez très bien laisser votre parquet brut. La vitrification est déconseillée en salle de bains. La finition huilée est adaptée mais nécessite que le bois soit nourri fréquemment, et donc un entretien régulier.
samedi 31 mars 2007
Essence parquet salle de bain
Quelle essence choisir pour ma salle de bains ?
Plusieurs exotiques et une indigène
Pour qu’une essence puisse être envisagée en salle de bains, il faut se pencher sur les classes de risques. Si plusieurs essences exotiques sont de classe 4, la classe requise, une seule essence indigène remplit ce critère : le robinier, encore appelé acacia.
Parmi les bois exotiques de classe 4 : l’ipé, l’iroko, le doussié, le wengé et évidemment le teck.
Plusieurs exotiques et une indigène
Pour qu’une essence puisse être envisagée en salle de bains, il faut se pencher sur les classes de risques. Si plusieurs essences exotiques sont de classe 4, la classe requise, une seule essence indigène remplit ce critère : le robinier, encore appelé acacia.
Parmi les bois exotiques de classe 4 : l’ipé, l’iroko, le doussié, le wengé et évidemment le teck.
Un parquet dans la salle de bains
Puis-je installer un parquet dans la salle de bains ?
Oui mais à certaines conditions.
Le CTBA ( Centre Technique du Bois et de l’Ameublement) préfère déconseiller la pose d’un parquet dans une salle de bains sans doute en raison de l’absence de réglementation claire sur le bois en salle de bains. Pour l’UFFEP 5union Française des Fabricants et Entrepreneurs de Parquets), seule une pose à plein champ sur dalle est possible.
Pour mieux comprendre et bien choisir, des explications s’imposent.
D’une part, la salle de bains est une pièce très humide et le bois réagit justement à l’humidité contenue dans l’air par des très légères variations dimensionnelles.
D’autre part, il n’est pas rare qu’une flaque d’eau stagne sur le sol ou qu’un tapis de bains soit imprégné d’eau : le bois et l’eau stagnante ne font pas bon ménage.
Ainsi la pose flottante est rédhibitoire, car en cas d’inondation le parquet flottant serait détruit.
Le parquet doit donc être collé, le joints, destinés à gérer les variations dimensionnelles du bois doivent être de type pont de bateau et le joint de dilatation périphérique de la pièce doit lui aussi être rempli.
Oui mais à certaines conditions.
Le CTBA ( Centre Technique du Bois et de l’Ameublement) préfère déconseiller la pose d’un parquet dans une salle de bains sans doute en raison de l’absence de réglementation claire sur le bois en salle de bains. Pour l’UFFEP 5union Française des Fabricants et Entrepreneurs de Parquets), seule une pose à plein champ sur dalle est possible.
Pour mieux comprendre et bien choisir, des explications s’imposent.
D’une part, la salle de bains est une pièce très humide et le bois réagit justement à l’humidité contenue dans l’air par des très légères variations dimensionnelles.
D’autre part, il n’est pas rare qu’une flaque d’eau stagne sur le sol ou qu’un tapis de bains soit imprégné d’eau : le bois et l’eau stagnante ne font pas bon ménage.
Ainsi la pose flottante est rédhibitoire, car en cas d’inondation le parquet flottant serait détruit.
Le parquet doit donc être collé, le joints, destinés à gérer les variations dimensionnelles du bois doivent être de type pont de bateau et le joint de dilatation périphérique de la pièce doit lui aussi être rempli.
Parquet brossé, cérusé, teinté
Quels sont les différents aspects ?
Brossé, cérusé, teinté.
Pour une seule essence, et particulièrement pour le chêne, les aspects peuvent être aussi différents que le blanc ou le noir.
Le brossage va structurer la matière en donnant un effet de relief.
Le cérusage est une technique décorative destinée à faire ressortir les veines du bois.
Le chêne et le frêne se prêtent très bien au cérusage.
Les teintes qui conduisent à des bois blanchis, gris ou carbones accentuent encore l’impression d’une diversité de produits illimités.
Brossé, cérusé, teinté.
Pour une seule essence, et particulièrement pour le chêne, les aspects peuvent être aussi différents que le blanc ou le noir.
Le brossage va structurer la matière en donnant un effet de relief.
Le cérusage est une technique décorative destinée à faire ressortir les veines du bois.
Le chêne et le frêne se prêtent très bien au cérusage.
Les teintes qui conduisent à des bois blanchis, gris ou carbones accentuent encore l’impression d’une diversité de produits illimités.
Finition du parquet en bois
Quelle finition choisir ?
Parquet verni, huilé ou ciré.
Autour des 3 finitions classiques (verni, huilé, ciré) se développent des variantes. C’est ainsi que les vernis mats sont arrivés sur le marché pour élargir la gamme des parquets vitrifiés et pour répondre à ceux que la brillance des vernis classique déplaisait.
La finition vernie est en France majoritaire en raison essentiellement du peu d’entretien qu’elle requiert.
La finition huilé avait pour inconvénient la nécessité de nourrir fréquemment le bois ainsi qu’un entretien régulier, mais pour avantage d’être la finition la plus adaptée à un trafic intense qui, au demeurant, ne concerne pas vraiment les maisons individuelles.
Un nouveau type de finition huilée vient d’arriver sur le marché. Celle-ci n’aurait plus rien à voir avec l’huile que l’on appliquait sur le bois brut et qui le pénétrait tout en laissant une fine pellicule grasse en surface qui finissait par retenir les poussières et s’encrasser.
Aujourd’hui, les nouvelles finitions huilées seraient écologiques, à base de tournesol et de soja par exemple, et demanderaient moins d’entretien.
Enfin, les finitions réalisées en usine sont clairement plus durables que celles réalisées sur chantier.
Parquet verni, huilé ou ciré.
Autour des 3 finitions classiques (verni, huilé, ciré) se développent des variantes. C’est ainsi que les vernis mats sont arrivés sur le marché pour élargir la gamme des parquets vitrifiés et pour répondre à ceux que la brillance des vernis classique déplaisait.
La finition vernie est en France majoritaire en raison essentiellement du peu d’entretien qu’elle requiert.
La finition huilé avait pour inconvénient la nécessité de nourrir fréquemment le bois ainsi qu’un entretien régulier, mais pour avantage d’être la finition la plus adaptée à un trafic intense qui, au demeurant, ne concerne pas vraiment les maisons individuelles.
Un nouveau type de finition huilée vient d’arriver sur le marché. Celle-ci n’aurait plus rien à voir avec l’huile que l’on appliquait sur le bois brut et qui le pénétrait tout en laissant une fine pellicule grasse en surface qui finissait par retenir les poussières et s’encrasser.
Aujourd’hui, les nouvelles finitions huilées seraient écologiques, à base de tournesol et de soja par exemple, et demanderaient moins d’entretien.
Enfin, les finitions réalisées en usine sont clairement plus durables que celles réalisées sur chantier.
Du parquet dans la cuisine
Puis-je envisager du parquet dans la cuisine ?
Tout dépend de vous.
Selon comment vous vivez votre cuisine, la réponse sera affirmative à négative. Affirmative si votre cuisine doit ressembler à une photo de magazine, négative si la cuisine est une pièce dont vous vivez la fonction pleinement.
Tout dépend de vous.
Selon comment vous vivez votre cuisine, la réponse sera affirmative à négative. Affirmative si votre cuisine doit ressembler à une photo de magazine, négative si la cuisine est une pièce dont vous vivez la fonction pleinement.
Le parquet est-il sensible aux UV ?
Bien entendu, comme tous les bois.
Le bois est sensible aux UV. Cela se traduit par une modification de la structure des éléments superficiels du bois. Un padouk posé poil de carotte prendra progressivement sa couleur aubergine définitive.
Pour respecter cette évolution de la teinte du bois et éviter des mauvaises surprises, il est indispensable de différer d’au moins plusieurs semaines la pose d’un tapis ou de pots de fleurs sur un parquet fraîchement posé.
Le bois est sensible aux UV. Cela se traduit par une modification de la structure des éléments superficiels du bois. Un padouk posé poil de carotte prendra progressivement sa couleur aubergine définitive.
Pour respecter cette évolution de la teinte du bois et éviter des mauvaises surprises, il est indispensable de différer d’au moins plusieurs semaines la pose d’un tapis ou de pots de fleurs sur un parquet fraîchement posé.
Un parquet de couleur naturelle
Comment choisir un parquet de couleur naturelle ?
Procédez par élimination.
Pour un parquet de couleur naturelle, vous avez le choix entre les bois clairs, blonds ou foncés. Pour connaître quelles essences conviendront le mieux, regardez votre mobilier.
Les bois clairs se marient généralement très bien avec les couleurs vives mais aussi avec des matériaux tels que le verre et le béton. Parmi les essences claires, on trouve le bouleau, le pin, le frêne, l’érable, etc.
Les bois blonds et le mobilier classique, les matériaux traditionnels tels que la pierre ou le fer forgé, et des matières telles que le cuir ou le lin ; font bon ménage. Parmi les bois blonds, on trouve le chêne, le hêtre, le cerisier, le doussié, etc.
Les bois foncés, lesquels renforcent l’élégance d’un mobilier chic, comptent le jatoba, le teck, le moabi, le merbau, l’iroko, le noyer, le wengé, etc.
Procédez par élimination.
Pour un parquet de couleur naturelle, vous avez le choix entre les bois clairs, blonds ou foncés. Pour connaître quelles essences conviendront le mieux, regardez votre mobilier.
Les bois clairs se marient généralement très bien avec les couleurs vives mais aussi avec des matériaux tels que le verre et le béton. Parmi les essences claires, on trouve le bouleau, le pin, le frêne, l’érable, etc.
Les bois blonds et le mobilier classique, les matériaux traditionnels tels que la pierre ou le fer forgé, et des matières telles que le cuir ou le lin ; font bon ménage. Parmi les bois blonds, on trouve le chêne, le hêtre, le cerisier, le doussié, etc.
Les bois foncés, lesquels renforcent l’élégance d’un mobilier chic, comptent le jatoba, le teck, le moabi, le merbau, l’iroko, le noyer, le wengé, etc.
Choisir un bois pour parquet
Dois-je choisir un bois pour mon entrée ?
Rien ne vous y oblige.
Le revêtement de sol de l’entrée d’une maison individuelle, ouverte sur l’extérieur, va en effet être soumis dans le cadre d’un usage domestique à un trafic intense.
De nombreux halls d’entrée se sont dernièrement parés d’un bois dur non pas par goût pour sa couleur et sa structure, mais par peur qu’une essence plus tendre s’use plus vite. Parmi les bois les plus durs, l’ipé est souvent choisi. Son prix est relativement abordable pour une essence exotique mais sa densité très importante l’est parfois trop, à l’origine – très rarement – de risques d’instabilité (retraits, soulèvements). Vous pouvez très bien choisir de l’ipé pour votre entrée mais aussi du chêne, du hêtre ou du pin maritime.
En conclusion, votre entrée n’est pas celle d’un grand magasin et si vous devez choisir une essence, choisissez là d’abord pour sa couleur et sa structure car sa dureté sera la plupart du temps suffisante et pourra même être compensée par une couche d’usure plus importante.
Rien ne vous y oblige.
Le revêtement de sol de l’entrée d’une maison individuelle, ouverte sur l’extérieur, va en effet être soumis dans le cadre d’un usage domestique à un trafic intense.
De nombreux halls d’entrée se sont dernièrement parés d’un bois dur non pas par goût pour sa couleur et sa structure, mais par peur qu’une essence plus tendre s’use plus vite. Parmi les bois les plus durs, l’ipé est souvent choisi. Son prix est relativement abordable pour une essence exotique mais sa densité très importante l’est parfois trop, à l’origine – très rarement – de risques d’instabilité (retraits, soulèvements). Vous pouvez très bien choisir de l’ipé pour votre entrée mais aussi du chêne, du hêtre ou du pin maritime.
En conclusion, votre entrée n’est pas celle d’un grand magasin et si vous devez choisir une essence, choisissez là d’abord pour sa couleur et sa structure car sa dureté sera la plupart du temps suffisante et pourra même être compensée par une couche d’usure plus importante.
Parquet bois
Parquet bois - quelle essence pour quelle pièce ?
Investir dans un parquet, c’est avant tout chose rééduquer à vivre la matière.
Le parquet que vous choisirez aujourd’hui guidera vos pas tout au long de votre vie.
Avec une durée de vie largement supérieure à celle des autres revêtements de sol, le parquet requiert un entretien facile à la portée de tous. Il ne vous reste plus qu’à choisir la bonne essence, la bonne finition, le bon parqueteur, le bois qui vous ressemble et qui vous va si bien.
Selon l’UFEEP, l’Union française des fabricants en entrepreneurs de parquets, le marché de la rénovation concerne les ¾ des ventes de parquets en France.
Dans l’Hexagone, comme en Europe, le marché du contrecollé, qui occupe les ¾ du marché a explosé aux dépens du massif, notamment grâce aux systèmes de pose rapide sans colle (assemblage par encliquetage).
Le ¼ restant correspond aux parquets massifs. Ces derniers étaient autrefois bruts, directement commercialisés par les scieurs. Il fallait ensuite les poncer puis les vitrifier. Le marché est aujourd’hui détenu par les industriels qui livrent des parquets massifs prêts à l’emploi dont les finitions sont directement réalisées en usine. Ces finitions sont clairement plus durables que celles appliquées sur chantier.
Le chêne, valeur patrimoniale indétrônable, occupe toujours la première place avec 70 à 80 % des parts de marché. La diversité de l’offre, liée aux multiples finitions proposées, lui assure une pérennité enviée. Les bois blancs et les lames sans nœuds, qui étaient à la mode il y a une dizaine d’années, ont progressivement laissé la place aux bois rouges exotiques et aux lames avec nœuds.
Investir dans un parquet, c’est avant tout chose rééduquer à vivre la matière.
Le parquet que vous choisirez aujourd’hui guidera vos pas tout au long de votre vie.
Avec une durée de vie largement supérieure à celle des autres revêtements de sol, le parquet requiert un entretien facile à la portée de tous. Il ne vous reste plus qu’à choisir la bonne essence, la bonne finition, le bon parqueteur, le bois qui vous ressemble et qui vous va si bien.
Selon l’UFEEP, l’Union française des fabricants en entrepreneurs de parquets, le marché de la rénovation concerne les ¾ des ventes de parquets en France.
Dans l’Hexagone, comme en Europe, le marché du contrecollé, qui occupe les ¾ du marché a explosé aux dépens du massif, notamment grâce aux systèmes de pose rapide sans colle (assemblage par encliquetage).
Le ¼ restant correspond aux parquets massifs. Ces derniers étaient autrefois bruts, directement commercialisés par les scieurs. Il fallait ensuite les poncer puis les vitrifier. Le marché est aujourd’hui détenu par les industriels qui livrent des parquets massifs prêts à l’emploi dont les finitions sont directement réalisées en usine. Ces finitions sont clairement plus durables que celles appliquées sur chantier.
Le chêne, valeur patrimoniale indétrônable, occupe toujours la première place avec 70 à 80 % des parts de marché. La diversité de l’offre, liée aux multiples finitions proposées, lui assure une pérennité enviée. Les bois blancs et les lames sans nœuds, qui étaient à la mode il y a une dizaine d’années, ont progressivement laissé la place aux bois rouges exotiques et aux lames avec nœuds.
Inscription à :
Articles (Atom)